Depuis le début de l’été, les investisseurs commencent à douter des retombées financières de l’intelligence artificielle (IA). Son développement exige d’importants capitaux pour des résultats futurs et incertains. D’un côté les apporteurs de capitaux qui souhaitent savoir si l’intelligence artificielle ne pourrait se transformer en deuxième bulle digitale après celle d’Internet au début des années 2000 ;