Après une génération de baisse, les actions japonaises ont été délaissées par les banques d’investissement : la moitié des valeurs du Topix ne sont ainsi suivies que par deux analystes ou moins ; et plus de 400 valeurs ne semblent faire l’objet d’aucune attention de leur part.
Un bon analyste devrait donc trouver régulièrement des pépites japonaises, aujourd’hui enterrées sous des montagnes d’indifférence