Les encours des clients de la zone francophone suivis par le bureau de Paris ont crû de 80%, s’établissant ainsi à 1,8 milliard de dollars dont 45% gérés pour le compte d’investisseurs français.
En 2011, Muzinich & Co. a enregistré une collecte nette globale de 4,1 milliards de dollars dont 3,6 milliards au sein des compartiments – Europeyield, Enhancedyield, Americayield, Transatlanticyield, ShortDurationHighYield et Bondyield du UCITS « Muzinich Funds » agree dans plusieurs pays européens dont la France.
Le bureau parisien a contribué pour plus de 900 millions de dollars à la collecte des fonds UCITS. Environ la moitié de cette collecte est venue d'investisseurs français.
Toutes zones géographiques confondues, la collecte s’est révélée importante à travers le fonds « ShortDurationHighYield », investi essentiellement en obligations américaines à haut rendement à duration courte notées BB/B. Lancé en octobre 2010, ce fonds est venu enrichir la gamme des fonds déjà commercialisés en France et accessibles à tous types d’investisseurs. « ShortDurationHighYield » a vu ses actifs dépasser les 2 milliards de dollars, fin 2011.
Perspectives 2012
Muzinich & Co. entend accompagner sa croissance à Paris à travers le recrutement d’un Commercial Senior dans les prochaines semaines et envisage l’addition d’une fonction « support » d’ici fin 2012.
Muzinich & Co. compte poursuivre la promotion de la gamme de fonds existante qui offre aux investisseurs des solutions variées de risque/rendement dans l’univers du « corporate crédit ».
Un nouveau fonds qui pourrait venir étoffer la gamme d’ici la fin de l’année est à l’étude.
Selon Eric Pictet, Directeur de Muzinich & Co. à Paris, « l’intérêt des investisseurs pour la classe d’actifs a beaucoup crû ces 18 derniers mois. La situation globale pousse les investisseurs à rechercher de nouvelles sources de rendement. L’objectif de Muzinich & Co. est d’offrir aux investisseurs un large choix de solutions adaptées à chaque objectif et aux différentes contraintes de gestion dans l’univers du "Corporate Crédit", en restant attaché à sa philosophie de gestion basée sur l’analyse fondamentale et la prudence. »
