vendredi 20 juin 2025
Selon Yann Goffinet, Analyste financier senior, Pictet Wealth Management, une grande partie du secteur bancaire européen apparaît comme une véritable « value trap », alors que la plupart des assureurs du continent demeurent attractifs...
L’exposition aux actions mondiales a été abaissée à neutre. Les risques politiques et économiques s’intensifient : élections présidentielles américaines, turbulences secouant le secteur bancaire européen, référendum en Italie et relèvement des taux de la banque centrale américaine.
Les marchés émergents ont à nouveau les faveurs des investisseurs. Le retour récent des flux d’investissement s’explique autant par la stabilisation globale des fondamentaux macroéconomiques dans ces pays, que par l’environnement de taux extraordinairement bas, qui entretient une quête légitime de rendement.
« La fin de la campagne présidentielle américaine est susceptible de profiter aux titres du secteur de la santé si elle conduit à l’inertie politique », affirme Evan Bauman, gérant du fonds Legg Mason ClearBridge US Aggressive Growth dont l’encours s’élève à 2,6 milliards USD.
Basée sur l’investissement factoriel, cette approche innovante capitalise sur les performances attrayantes jusqu’à ce jour des stratégies « smart beta ». Elle repose sur la combinaison, au sein d’un même portefeuille, de 4 facteurs complémentaires et faiblement corrélés entre eux : Qualité, Valorisation, Momentum et Faible Volatilité.