samedi 13 décembre 2025
Les investisseurs en obligations doivent à présent chercher à savoir quels pays résisteront à l’orage et si des crises de la dette souveraine suivront. Les déficits publics explosent partout en raison de deux facteurs.
Selon Paul Doyle, Head of Europe ex-UK Equities chez Columbia, les bonnes nouvelles et l’optimisme d’il y a trois mois ne sont plus qu’un lointain souvenir, laissant la place au virus, au confinement et aux plans de sauvetage de l’économie
Les répercussions du coronavirus accélèrent et modifient les tendances structurelles, nous portant à faire évoluer nos prévisions de performance à long terme ainsi que nos opinions stratégiques.
Pourquoi s’intéresser à un secteur qui semble aussi peu attrayant ? Les raisons sont multiples, et se combinent : une industrie qui répond à des besoins essentiels, une offre structurellement baissière face à une demande qui se maintient, voire qui augmente dans certains cas, des facteurs macro-économiques favorables, et des valorisations attractives.
On note d’abord que l’indice MSCI World a baissé de 14.5% en mars, mais que 62% des fonds ESG de grandes capitalisations ont surperformé l’indice. Par ailleurs, 42% des fonds (fonds ouverts et ETFs disponibles sur le marché américain) étaient classés dans le 1ier quartile de leur catégorie, selon Morningstar...