mardi 7 octobre 2025
Le portefeuille de référence reste fixé à 80 % sur les actifs de croissance et à 20% sur les obligations ; 5% de l’allocation étant dédiée aux actions néo-zélandaises.
Quelques jours après les signes concrets de résolution de la dette grecque qui ont fait retomber la tension, l’attention des investisseurs se tourne maintenant vers la Chine, où la déroute actuelle des marchés boursiers « onshore » soulève des questions sur la deuxième plus grande économie du monde...
« Un milliard ici, un milliard par-là, et bientôt vous parlez d’argent réel. » Utilisé pendant des décennies pour décrire la perception du niveau croissant de dépenses élevées d’un gouvernement, cette phrase connue, d’origine obscure peut également servir à ceux qui construisent aujourd’hui des portefeuilles d’investissement...
L’accord sur la Grèce a provoqué un rally instantané sur les spreads souverains et le taux sans risque. Les volumes d’échange sont néanmoins modestes. Le 10 ans allemand a diminué à 0,74%. Les investisseurs euro relèvent leur exposition en duration mais maintiennent inchangées leurs détentions d’obligations périphériques.
Alors que tous les yeux étaient rivés sur la Grèce, la valeur des actions domestiques chinoises a chuté de 32 % depuis le 12 juin dernier. À titre de comparaison, ceci représente près de 3 200 Mds de $ de capitalisation partis en fumée, soit plus du quart du PIB de la Chine (fin 2014) et plus de dix fois celui la Grèce !