Alors que la fin d’année approche, il semblerait que les investisseurs aient définitivement tiré un trait sur 2022 : peu d’arbitrages significatifs dans les portefeuilles, une volatilité propre aux phases d’attente ou de bascule...
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vendredi 14 mars 2025
Alors que la fin d’année approche, il semblerait que les investisseurs aient définitivement tiré un trait sur 2022 : peu d’arbitrages significatifs dans les portefeuilles, une volatilité propre aux phases d’attente ou de bascule...
Le 9 juin dernier Morgan Stanley publiait une étude intéressante appelée « Rising Cost of Capital and Implications for Equities » qui analyse les implications de la hausse des taux et des spreads pour les marchés actions.
Le fonds s’appuie sur l’expertise de l’équipe convertibles de LBP AM, gérant déjà plus d’1,2 milliard d’euros d’actifs au sein de six fonds. Sa création réaffirme la conviction de longue date de la société en faveur de cette classe d’actifs et de la finance durable.
Si l’indice parisien a progressé de plus de 25% depuis le 1er janvier, les résultats des entreprises ont été revus en hausse de 30% pour l’année en cours et de 20% pour l’an prochain. Or, tant que les anticipations sur les taux longs ne progressent pas, le contexte actuel plaide toujours en faveur des marchés actions...
Comment expliquer la performance décevante sur les obligations convertibles en 2021 ? Mais, à la fois, pourquoi ce produit conserve-t-il un réel intérêt dans une allocation d’actifs à moyen terme ? L’analyse de Benoit Le Pape, Responsable des Obligations Convertibles chez Schelcher Prince Gestion...
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