A l’occasion de la 6ème conférence annuelle sur la restructuration des banques et les portefeuilles de crédits réunissant à Londres près de 600 banquiers et investisseurs, PwC révèle sa dernière étude « Market Survey 2015 ».
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lundi 7 juillet 2025
A l’occasion de la 6ème conférence annuelle sur la restructuration des banques et les portefeuilles de crédits réunissant à Londres près de 600 banquiers et investisseurs, PwC révèle sa dernière étude « Market Survey 2015 ».
La politique des Banques centrales va demeurer, en 2015, une composante majeure sur le marché obligataire. L’année a ainsi débuté sous l’égide de la BCE et de son programme de rachat d’actifs. Une bonne nouvelle, mais qui n’est pas la seule…
En théorie, on devrait s’attendre à ce que la prime de CDS d’une obligation périphérique de la zone euro soit identique au spread entre le rendement de cette obligation et celui d’une obligation sans risque (en l’occurrence le bund), autrement dit que la base soit à peu près nulle, ou en tout cas très faible.
Amundi intègre, pour la première fois, les expertises obligataires américaines d’Amundi Smith Breeden au sein de sa SICAV Amundi Funds. Les compartiments obligataires nouvellement créés sont : Amundi Funds Bond US Aggregate, Amundi Funds Bond US Corporate, Amundi Funds Absolute US Corporate et Amundi Funds Bond Global High Yield.
Selon Charles Bouffier, Directeur général délégué, Responsable des gestions chez EGAMO, la régression du risque macroéconomique alimente les flux vers les actifs risqués mais les risques spécifiques subsistent : la diversification est la meilleure protection.
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