Économie

Dans notre dernière note de l’année 2014, nous confirmions la montée en puissance des incertitudes : « appréhender avec exactitude l’évolution des marchés financiers devient de plus en plus difficile ». La décision la semaine passée de la BNS semble abonder dans ce sens.

Un QE n’est certainement pas ce qu’on peut souhaiter de mieux à la zone euro mais, quitte à le faire, autant bien le faire. On peut distinguer trois conditions de réussite : la crédibilité vis-à-vis du marché, le calibrage et la mutualisation des risques.

Nous anticipons en 2015 un tassement plus marqué de la conjoncture chinoise qui se traduira d’abord par plus de volatilité économique de la part de ses principaux partenaires (Corée, Taïwan, Malaisie) et ensuite par une poursuite de la baisse des prix des matières premières, notamment des métaux...

L’indicateur de croissance de Li Kequiang peut être construit en regardant la variation sur 6 mois glissant de trois indicateurs que sont la consommation d’électricité, le volume de fret des chemins de fer et le volume de prêts...

La Chine a annoncé des réformes budgétaires radicales visant à réduire l’endettement des collectivités locales et à rendre les finances publiques plus saines. Ces mesures, qui font partie d’un plan d’ensemble, devraient contribuer au rééquilibrage de l’économie, mais la croissance à court terme en sera affectée...