mardi 13 mai 2025
La Réserve fédérale américaine (Fed), à l’instar d’autres banques centrales, va relever ses taux pour la première fois depuis le début de la pandémie. Sa réaction face à l’inflation devrait toutefois s’avérer exceptionnellement modérée.
Les indices boursiers mondiaux ont fortement progressé pour la troisième année consécutive, à l’image du MSCI World qui a fini 2021 en hausse de 19%. Les marchés développés ont fait encore mieux, en grande partie grâce aux taux ultra bas et aux injections massives de liquidité des banques centrales.
Après une année très positive pour les marchés, lors de laquelle la plupart des indices mondiaux ont terminé l’année proche de leur plus haut historique, le début de l’année 2022 pourrait être celle de la remise en question concernant l’impact des politiques monétaires ultra accommodantes sur l’économie, l’inflation ou encore la stabilité des monnaies fiduciaires.
Le passage de la Chine à une ère de « prospérité commune » implique que les autorités doivent rééquilibrer l’économie, notamment en adoptant un modèle de croissance tiré par la consommation. Cette transformation, qui a commencé en 2021, a mis fin au discours traditionnel de Pékin en matière d’investissement, ce qui crée des défis à moyen terme, mais également des opportunités stratégiques pour les investisseurs agiles.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont atteint des niveaux inédits depuis la fin des années 1960, avec un point bas à 188 000 sur la semaine du 4 décembre. Elles ont légèrement rebondi sur la semaine dernière à 206 000.