vendredi 20 juin 2025
Contrairement aux idées reçues, l’absence d’inflation n’est pas une mauvaise chose en soi. L’économie entre simplement dans une phase de plus grande maturité économique. Quelques explications…
Si la prudence est de mise concernant l’environnement de long terme, l’optimisme prévaut sur les perspectives de court terme. « Et tant que la conjoncture va », les investisseurs devraient privilégier le « verre à moitié plein au verre à moitié vide ». Évidemment, les actifs financiers seraient vulnérables à un ralentissement conjoncturel.
Depuis la crise de 2008, l’économie mondiale vit globalement sous l’assistance des banques centrales, par des politiques monétaires très expansionnistes et non conventionnelles, qui ont largement contribué au sauvetage, puis à la stabilisation des économies.
A l’image de ce qui s’est passé ces 12 derniers mois, le comportement des marchés financiers devrait laisser économistes et investisseurs perplexes selon Edward Bonham Carter, Vice-Président de Jupiter. Pour lui, les actions pourraient génèrer des revenus raisonnables si l’inflation reste contenue et que les taux d’intérêts américains poursuivent une remontée lente et régulière...
Sans surprise, le communiqué de la BCE n’a subi aucun changement notable en décembre, y compris sur les aspects les plus importants concernant le guidage des anticipations.