Le moteur de l’économie mondiale montre des signes de ralentissement et les marchés sur-réagissent à toutes les mauvaises nouvelles. L’affaire Volkswagen, qui est symptomatique de cette fébrilité, a fait chuter les actions à des niveaux proches du creux de fin août. Les craintes du retour de la déflation en raison de la chute brutale du prix des matières première...