Le Dow Jones a perdu hier 1 175,21 points, il n’avait jamais perdu autant en un jour. C’est aussi une baisse de 4,6%, ce qui n’est « que » la 108ème plus forte baisse journalière depuis 1900. Il faut relativiser.
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dimanche 8 juin 2025
Le Dow Jones a perdu hier 1 175,21 points, il n’avait jamais perdu autant en un jour. C’est aussi une baisse de 4,6%, ce qui n’est « que » la 108ème plus forte baisse journalière depuis 1900. Il faut relativiser.
Selon Jean-Marie Mercadal, Directeur Général Délégué en charge des gestions chez Ofi-AM, les taux remontent pour de bonnes raisons (croissance/inflation/normalisation progressive des politiques monétaires) mais les mouvements de marchés sont trop rapides et créent des perturbations.
Nous continuons de privilégier les bons du Trésor américain (couverts en devise) par rapport aux Bunds allemands, une préférence fondée sur leurs valorisations respectives. L’écart de rendement entre les deux blocs est élevé dans une perspective historique.
Confrontés à de faibles taux d’intérêt et à des actifs à risque relativement surévalués, les grands investisseurs institutionnels mondiaux cherchent à se protéger contre le risque de ralentissement en maintenant le niveau de leurs liquidités et en augmentant, au cas par cas, leur allocation aux stratégies de gestion active, selon une nouvelle étude réalisée par BlackRock.
La quasi-institutionnalisation des Quantitative easing, hier aux Etats-Unis, aujourd’hui encore en zone Euro, au Royaume-Uni et au Japon, a progressivement fait disparaître la liquidité des marchés d’obligations d’état. On peut parler de nationalisation des marchés obligataires...
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