mercredi 25 juin 2025
Selon Thomas Fallon, Conseiller de Convictions AM, parmi les conséquences les plus importantes figurent la question monétaire, la problématique du budget et de la dette, l’effet de contagion en Europe et les réactions des marchés financiers...
Jusqu’à présent, les marchés d’actions ont affiché de solides performances, mais l’importante rotation de style en faveur des actifs de valeur au détriment des actifs de croissance a induit pas mal d’investisseurs en erreur. Bref, le débat “value vs. growth” est relancé !
Selon l’étude du CFA Institute, les comptes reflètent de façon très disparate les portefeuilles de crédits des établissements financiers. Ces écarts ne peuvent pas seulement s’expliquer par les conditions économiques locales. Les prêts sont un élément clé du bilan bancaire et, par là-même, constituent un des principaux facteurs de risque.
Au cours de l’année 2014, il y a eu une baisse constante du taux de rendement des emprunts d’Etat allemands. En conséquence, le marché du « Bund allemand » a surperformé les autres marchés développés. Cette surperformance aurait été motivée par deux principaux facteurs...
Six ans après le début de la crise financière, il existe des signes très clairs de reprise économique au niveau mondial. Dans ce contexte, les investisseurs immobiliers revoient leurs stratégies d’investissement et regardent de nouveau au-delà des principales métropoles européennes, en arrêtant d’exclure automatiquement les marchés de la périphérie Sud de l’Europe.