Où en est-on aujourd’hui ?
Tout d’abord, en terme de valorisation, le secteur bancaire vient de retrouver, à un peu plus d’une fois sa valeur d’actif, un niveau certes encore raisonnable, mais un niveau qui n’est plus stupide.
En terme d’évolution de cours, notons, mouvement classique d’une phase d’euphorie, que les banques surperforment l’indice de marché, que les banques les moins rentables (les italiennes notamment) surperforment les autres, et que les petites banques au bilan faible surperforment les plus solides !
Le mouvement n’est sans doute pas terminé mais il est bien entamé et la solution n’est peut- être pas d’aller chercher des établissements faibles ou peu capitalisés pour continuer à bénéficier d’un re-rating sectoriel qui aura été violent.