Amundi Funds Equity Europe Conservative permet de profiter du rendement attractif des actions européennes tout en réduisant le risque associé à la classe d’actifs
Les investisseurs s’inquiètent de voir durer les politiques monétaires accommodantes des différentes banques centrales. Certes, elles visent à redynamiser l’économie réelle. Mais, le fort repli consécutif des rendements obligataires ne permet plus aux investisseurs ayant une faible tolérance au risque de répondre à leurs attentes de revenus.
Une remontée des rendements obligataires pourrait donc s’avérer salutaire. Pas si sûr. Car la perspective d’une normalisation monétaire fait émerger deux nouvelles problématiques pour ces investisseurs.
Une remontée des rendements obligataires pourrait donc s’avérer salutaire. Pas si sûr. Car la perspective d’une normalisation monétaire fait émerger deux nouvelles problématiques pour ces investisseurs.Melchior Dechelette, Head of Risk Efficient Solutions, Amundi
La première est celle d’un risque de perte en capital. Avec des taux d’intérêt proches de zéro, le potentiel de revalorisation des obligations d’Etat est déjà limité. En revanche, dès que le resserrement monétaire sera réellement amorcé, la valorisation des obligations détenues en portefeuille se réduira mécaniquement, et ce d’autant plus sur les maturités longues avec la pentification prévisible de la courbe des taux.
La seconde est le coût d’opportunités de rendement qui n’auront pas été saisies d’ici cette normalisation. Selon Fitch Ratings, 10 trillions de dollars d’obligations souveraines génèrent déjà des rendements négatifs, avec un nombre croissant d’émissions à long terme concerné. Rester investi sur les obligations d’Etat représente donc un « manque à gagner » quand d’autres classes d’actifs offrent des rendements plus attractifs. C’est notamment le cas des actions européennes, avec rendement du dividende autour de 4% [1].
Les actions sont néanmoins souvent considérées comme trop risquées pour constituer une alternative crédible pour générer des revenus. « Les investisseurs craignent une envolée de leurs budgets de risque en arbitrant, même partiellement, leur allocation obligataire en faveur de solutions traditionnelles sur les actions qui, certes, promettent du rendement mais n’offrent pas de protection à la baisse », explique Melchior Dechelette, Head of Risk Efficient Solutions. Or, de fortes baisses interviennent chaque année sur les marchés d’actions depuis la crise financière, tantôt provoquées par les inquiétudes sur la zone euro, sur l’évolution de la politique de la Réserve Fédérale ou sur la transition économique en Chine. « Et il y aura encore d’autres crises dans les prochaines années », prévient-il.
L’alternative ne doit pas donc pas, selon Melchior Dechelette, être recherchée du côté des solutions en gestion passive ou des stratégies à « haut dividende » qui privilégient le rendement avant la protection du capital. Pour aider les investisseurs à sauter le pas vers les marchés actions, une approche plus défensive doit leur être proposée. Plus précisément, une stratégie apportant un profil de participation très asymétrique à l’évolution de ces marchés.
Pour aider les investisseurs à sauter le pas vers les marchés actions, une approche plus défensive doit leur être proposée. Plus précisément, une stratégie apportant un profil de participation très asymétrique à l’évolution de ces marchés.Melchior Dechelette, Head of Risk Efficient Solutions, Amundi
« Il est tout à fait possible d’arbitrer une partie de son allocation obligataire en faveur des actions tout en contrôlant leur volatilité », fait valoir Melchior Dechelette. « Amundi Funds Equity Europe Conservative vise le meilleur de ces deux mondes, c’est-à-dire un rendement attractif, généré par des actions européennes strictement sélectionnées, et une moindre volatilité, grâce à un processus de gestion optimisé. »
Lancé en 2009 [2], ce fonds UCITS permet aux investisseurs de participer à la hausse du marché des actions européennes, avec une moindre exposition à la baisse. Son portefeuille, très diversifié, est composé de valeurs de qualité, présentant une efficacité opérationnelle plus élevée que leurs pairs, un endettement moindre et d’importants flux de trésorerie. Sur 5 ans le fonds a démontré sa capacité à créer de la valeur en battant son indice de référence avec une volatilité sensiblement inférieure.
« Notre stratégie de faible volatilité permet aux investisseurs de s’exposer davantage aux actions européennes sans accroitre leur budget de risque initial », conclut Melchior Dechelette.