Si le taux de défaut des entreprises reste relativement faible, notamment en Europe, une nouvelle dégradation du contexte économique et sanitaire pourrait engendrer un déclassement massif des émetteurs en « high yield ». Une situation qui présente des risques mais aussi des opportunités. L’analyse de David Diwan, CFA, gérant de portefeuille senior chez Edmond de Rothschild.