lundi 29 septembre 2025
Malgré une baisse de la volatilité sur les marchés et le récent rebond des indices actions en Europe (après plus de 10% de baisse en deux mois), le risque reste sous-jacent.
Personne n’avait prévu, au plus fort de la crise financière mondiale, qu’il faudrait autant de temps pour que l’économie mondiale se remette et que les banques centrales allaient devoir mettre en place des mesures sans précédent pour soutenir les marchés de capitaux.
Selon Maarten-Jan Bakkum, Stratégiste Senior Marchés Emergents chez ING IM, pour un investisseur opportuniste souhaitant profiter des réformes potentielles dans le monde émergent, il pourrait y avoir plus à gagner au Brésil au cours des prochains mois. La probabilité d’une victoire de l’opposition lors des élections d’octobre a clairement augmenté.
D’un point de vue directionnel, Gaëlle Mallejac, Directrice de la Gestion de Taux chez Groupama AM, conserve son positionnement neutre pour les prochaines semaines, n’attendant pas un mouvement important sur les taux. Elle continue de privilégier la surexposition sur les pays périphériques.
La reprise en zone euro s’est confirmée au premier trimestre mais sur un rythme plutôt lent. Bien que des facteurs temporaires, comme un hiver particulièrement doux et la hausse de la TVA en France, aient pesé sur l’activité en ce début d’année, les enquêtes de conjoncture et les premiers indicateurs de l’économie réelle confirment notre scénario de reprise modeste..