mardi 30 septembre 2025
Le sentiment de crise est toujours bien présent parmi les économistes, qui ont du mal à oublier les cinq dernières années de crise. Les attentes déprimées sur le plan économique semblent ainsi s’être ancrées dans leur esprit...
L’appétit des investisseurs pour les actions ne devrait pas diminuer en 2014. En Europe, le redressement progressif des niveaux de valorisation qui a permis le remarquable rally des actifs à risque au cours des derniers trimestres, devrait encore procurer un beau potentiel d’appréciation.
Une fois n’est pas coutume, le sentiment de marché des investisseurs européens semble un peu plus enthousiaste qu’à Wall Street. Depuis le début de l’année, les actions européennes surperforment leurs homologues américaines dans une proportion qui n’est pas négligeable.
Christine Lagarde est la dernière personnalité de premier plan à évoquer le risque déflationniste. Elle devait notamment déclarer qu’ « avec une inflation inférieure à l’objectif de beaucoup de banques centrales, nous voyons un risque croissant de déflation, ce qui pourrait s’avérer désastreux pour la reprise »...
Pour les marchés et les économistes, il ne peut pas se produire de krach obligataire. Et pourtant le krach se produira parce-que les raisons extra-économiques pour lesquelles les investisseurs achetaient massivement des obligations d’état vont disparaître