Les marchés du crédit se sont considérablement améliorés avec de nouveau une surperformance locale des obligations les moins bien notées (notation CCC) et une détente des indicateurs d’aversion au risque.
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mardi 3 juin 2025
Les marchés du crédit se sont considérablement améliorés avec de nouveau une surperformance locale des obligations les moins bien notées (notation CCC) et une détente des indicateurs d’aversion au risque.
L’indice S&P 500 a rebondi de plus de 35% depuis son point bas du mois de mars. D’aucuns estiment que ce rebond est irrationnel compte tenu des statistiques économiques actuelles qui reflètent l’ampleur des dégâts causés par la paralysie de l’économie induite par le coronavirus.
La crise du Covid-19 est une séquence inédite à bien des égards. Parmi les principales nouveautés, il en est notamment une qui échappe à toute modélisation : pour la première fois depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, le politique décide unilatéralement du niveau de l’activité économique. Pire, il conditionne toute reprise de celui-ci à l’atteinte...
Alors que l’épidémie semble progressivement disparaître en Europe, les marchés de crédit en auront bientôt effacé tous les stigmates, tant les valorisations rebondissent rapidement, comme en témoignent les graphiques ci-dessous représentant les performances des différentes catégories obligataires. Peu d’analyse donc et peu de contradiction possible devant de telles courbes...
Le « risk parity » est une méthode de gestion où le portefeuille est construit en prenant en compte la volatilité de chaque classe d’actif. Imaginons un portefeuille très simple, qui comporte seulement une poche actions et une poche taux : si la volatilité des actions est double de celle des taux, ce portefeuille comportera deux fois plus de produits de taux.
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