Depuis l’élection de D. Trump, les investisseurs ont été progressivement rassurés sur les craintes de déflation, la croissance des pays émergents, et les incertitudes entourant la zone euro, qui avaient pesé sur l’appétit au risque entre fin octobre 2015 et mi-février 2016. Ils ont ainsi joué le thème de la « reflation » globale.