La BCE et la Fed veulent toutes deux s’attaquer à l’inflation, mais leurs défis sont légèrement différents. Et comme la guerre a un impact négatif à la fois sur l’inflation et la croissance, rien n’est facile.
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lundi 19 mai 2025
La BCE et la Fed veulent toutes deux s’attaquer à l’inflation, mais leurs défis sont légèrement différents. Et comme la guerre a un impact négatif à la fois sur l’inflation et la croissance, rien n’est facile.
A l’issue d’une réunion de deux jours, les 15 et 16 mars prochains, la Réserve Fédérale américaine doit augmenter son taux directeur principal pour la première fois depuis 2018 – mettant ainsi un terme à la politique monétaire ultra-accommodante de la période Covid. Le président de l’institution, Jerome Powell, a même dévoilé il y a quelques semaines de cela l’ampleur de la hausse des taux.
Dans ses portefeuilles, CPR AM a réduit son exposition aux actions en milieu de mois de février, soit via des positions optionnelles, soit par la vente directe d’actions principalement européennes. L’analyse de Cyrille Geneslay, gérant allocataire chez CPR AM…
Christine Lagarde n’a rien à envier à ses prédécesseurs, car son travail de présidente de la BCE s’est considérablement compliqué au cours de l’année écoulée en raison des pressions inflationnistes.
A la surprise quasi-générale, la BCE a décidé d’accélérer la sortie de son programme d’achats d’actifs. Une hausse des taux en fin d’année est donc redevenue possible. Et il s’agit là d’un compromis. On n’imagine pas ce qu’aurait été sa décision si le risque géopolitique n’était pas aussi élevé.
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