lundi 23 juin 2025
Selon Lukas Daalder de Robeco, un vent nouveau soufflera en 2017. Les investisseurs ont des raisons d’être optimistes, tout en étant confrontés à de nouveaux risques liés à Donald Trump.
Comme le dit si bien l’adage, le naturel revient immanquablement au galop. La première conférence de presse de Donald Trump depuis son élection en a été un exemple saisissant, la semaine dernière. Celui qui s’apprête à prendre vendredi les clés de la Maison Blanche s’est davantage concentré sur un exercice de style oratoire dont il a la maîtrise...
Selon Stefan Kreuzkamp, Directeur des Gestions de Deutsche Asset Management, les investisseurs ne doivent en aucun cas sous-estimer l’importance de ces facteurs politiques dans l’immédiat d’autant que le dollar, à l’instar des taux d’intérêts et des marchés d’actions outre-Atlantique, donnent aujourd’hui le “La” de l’économie mondiale.
La victoire de Donald Trump lors des dernières élections aux États-Unis pourrait conduire à une mini envolée de l’économie. Son plan annoncé de relance budgétaire pourrait en effet être de plus grande envergure que ce que le marché a anticipé et finir par ajouter 1,5 % de croissance au produit intérieur brut (PIB).
Mark Burgess, Chief Investment Officer EMOA et Global Head of Equities continue de trouver les actions plus attrayantes que les obligations et compte conserver ce positionnement au sein de leurs portefeuilles d’allocation d’actifs, avec moins de conviction qu’il n’en avait depuis quelque temps.