La Banque Centrale Européenne (BCE) ne devrait pas avoir besoin d’activer « l’option nucléaire », c’est-à-dire un programme d’assouplissement quantitatif à grande échelle, dans la mesure où la croissance a fait son retour au sein de la zone euro. Mais une telle option n’est pas à exclure. Explications de Léon Corneslissen, économiste en chef de Robeco.