Rendements plus élevés, protection contre la volatilité – les obligations à duration courte ne manquent pas d’atouts. Analyses de Tatjana Greil-Castro, Co-Head Public Markets et Bryan Petermann, Portfolio Manager chez Muzinich & Co.
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jeudi 4 décembre 2025
Rendements plus élevés, protection contre la volatilité – les obligations à duration courte ne manquent pas d’atouts. Analyses de Tatjana Greil-Castro, Co-Head Public Markets et Bryan Petermann, Portfolio Manager chez Muzinich & Co.
Sur les marchés financiers, après plusieurs années difficiles, le style « value » a fortement surperformé (au lecteur de décider s’il veut ajouter ce constat à la liste des bonnes ou des mauvaises nouvelles de l’an passé). Examinons dans un premier temps quels sont les facteurs qui ont favorisé le style « value » en 2022...
Un ralentissement de l’économie a naturellement des effets négatifs sur les marchés financiers. Cependant, il offre également des opportunités d’investissement, tant dans les sous-segments du marché des obligations dont la valeur est plus attractive que dans les entreprises faiblement valorisées mais présentant des cash-flows solides.
Faute de Pricing Power, de nombreuses hausses de prix imposées depuis un an ne sont pas soutenables dans le temps. Après une année de banalisation, la capacité d’une entreprise à créer un rapport de force favorable sur son marché devrait peu à peu retrouver une place centrale et discriminante dans les grilles d’analyse.
L’année 2022 s’est refermée sur une piètre performance pour les actions en général et l’immobilier coté en particulier, lequel a reculé de 32,59% si on prend en considération l’indice immobilier de référence, le FTSE EPRA Eurozone, qui a nettement sous-performé les indices généralistes, (-10,6% pour l’Eurostoxx 600).
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