mercredi 1er octobre 2025
Avant la crise, les banques centrales ne poursuivaient qu’un seul objectif, la stabilité macroéconomique, même si les mandats des banques centrales différaient selon le poids accordé à l’objectif croissance par rapport à celui de l’inflation.
Les données récentes mettent en exergue l’ampleur du déclin de la production manufacturière en France depuis le début de la zone euro. Alors que les productions française et allemande évoluaient presque parallèlement jusqu’en 2008, ces économies ont divergé complètement à partir du lancement de la zone euro.
Après avoir atteint de nouveaux sommets sur les principaux marchés développés cette année, les investisseurs devraient maintenant envisager une diversification au moins pour protéger une partie de la performance engrangée. Dans ce contexte nous attirons l’attention sur le marché de crédit australien
Catherine Yeung, spécialiste des investissements actions Asie Pacifique hors Japon basée à Hong Kong, commente la volatilité des marchés asiatiques sur fond d’inquiétudes face au probable retrait du QE et au ralentissement de la croissance chinoise. Elle présente également la stratégie de Fidelity sur les principaux marchés asiatiques.
Même si la performance contrastée des marchés émergents est attribuable à plusieurs facteurs à court terme, nous pensons qu’à plus long terme cette classe d’actifs pourrait connaître une croissance solide. Les marchés émergents ont par exemple surperformé les pays développés sur 10 des 12 dernières années calendaires.