samedi 17 mai 2025
Selon Noël Amenc, Directeur de l’EDHEC Risk Institute, à terme, les benchmarks smart beta pourront aussi être utilisés par les gérants actifs car ils constituent un meilleur point de départ pour la création d’alpha à partir du stock picking...
Ce qu’Alan Greenspan qualifiait d’ « exubérance des marchés », c’est-à-dire l’alternance de plus en plus rapide entre des phases d’optimismes et d’explosion de bulles, ne serait-il pas l’illustration de ce que nous pourrions appeler le syndrome « Dr Jekyll et Mr Hyde » ?
Selon François Millet, Responsable produits ETF et fonds indiciels chez Lyxor AM, la poche « Smart Bêta » a vocation à être logée dans le portefeuille « cœur » des investisseurs institutionnels…
Selon David Blitz, PhD, Directeur de la recherche quantitative et Pim van Vliet, PhD, Gérants actions à faible volatilité chez Robeco, les investisseurs en Smart Beta devraient déterminer stratégiquement l’exposition désirée par le biais d’anomalies largement étudiées telles que la faible volatilité, le momentum ou la capitalisation...
Dans une recherche publiée la semaine dernière et intitulée « Smart Beta 2.0 », l’EDHEC-Risk Institute souhaite attirer l’attention des investisseurs sur les risques des traditionnels indices « actions » dits « smart bêta » et proposer une nouvelle approche de l’investissement en smart beta pour tenir compte de ces risques.