Mazars propose une étude recensant les « dos’s and don’ts » de l’évaluation et expose une démarche de modélisation de la crise permettant d’ajuster les multiples boursiers et de calibrer les primes de risque. Cette approche réconciliant marchés et paramètres de crise, à appliquer secteur par secteur, est donc à même d’assister très concrètement l’évaluateur dans le calibrage de paramètres clés de l’évaluation.
La pandémie du Covid-19 nous rappelle toute la difficulté à appréhender les incidences d’une crise sur le travail de valorisation d’actifs.
En effet, la valeur d’un actif est intimement liée à sa capacité à engendrer des gains futurs probables. Or, en temps de crise, le futur apparaît précisément beaucoup plus incertain qu’à l’accoutumée et le champ des possibles beaucoup plus large ! Le contexte exceptionnel de la crise doit donc conduire à interroger les méthodes usuellement mises en œuvre lors des exercices de valorisation.
Mazars propose donc une étude recensant les « dos’s and don’ts » de l’évaluation et expose une démarche de modélisation de la crise permettant d’ajuster les multiples boursiers et de calibrer les primes de risque. Cette approche réconciliant marchés et paramètres de crise, à appliquer secteur par secteur, est donc à même d’assister très concrètement l’évaluateur dans le calibrage de paramètres clés de l’évaluation.
L’intensité de la crise mais aussi sa durée diffèrent selon les secteurs : quelle durée de crise prévoient les consensus d’analystes ? Les marchés financiers « achètent-ils » ces durées ou intègrent-ils une prime de risque additionnelle, si oui quel peut en être le sous-jacent ?
L’étude menée par Mazars s’attache à répondre à ces questions ; elle propose une méthodologie qui peut être déclinée sur un panel de sociétés cotées adapté, de manière à en tirer des métriques permettant de mieux appréhender les informations de marchés, dans le cadre des évaluations.
Seriez-vous intéressé par un échange avec Laurent Inard, Associé chez Mazars, Chief R&D Officer de Mazars en France et membre du conseil de surveillance de Mazars France sur cette étude ? Le propos peut être illustré par des exemples sectoriels.