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La semaine dernière aura été marquée par un évènement que peu de gens ont noté (ou signalé) : la capitalisation boursière d’Exxon est passée au-dessus de celle de Meta (ex-Facebook). Si cela peu paraître assez anodin, c’est tout de même un retournement de tendance comme on en a rarement vu par le passé. Quels sont les conséquences et les impacts ? Synthèse et analyse.

Dans un contexte boursier propice à la gestion « value », les sociétés de croissance et de qualité ont été sanctionnées par les investisseurs ces derniers mois, mais celles qui créent de la valeur à long terme présentent toutes les caractéristiques pour générer les meilleures opportunités d’investissement au second semestre.

Les craintes de récession se manifestent de toute part, à l’exception des prévisions de bénéfices des analystes. Est-ce une raison d’être optimiste ? Nous ne le pensons pas. L’analyse de Thomas Bucher, stratégiste actions chez DWS...

Inflation, surchauffe, hausse des taux... Alors que les espoirs de sortie du Covid laissaient espérer un fort redémarrage économique, stimulé par des sociétés et des ménages bien capitalisés après avoir été protégés pendant la crise, et souhaitant rattraper le temps perdu, patatras !

Composé de trois bourses (Shangaï, Shenzen et Pékin), le marché chinois fait partie des zones dans le monde les plus importantes. Selon Goldman Sachs, la capitalisation de toutes les entreprises chinoises dans le monde s’élevait en 2021 à 18 000 milliards de dollars, dont 14 300 milliards de dollars d’actions...