Les données économiques sont ressorties en-dessous des attentes. Les interventions des banquiers centraux restent dans une tonalité restrictive. Nous conservons notre attitude prudente sur les actions.
![]() |
![]() |
![]() |
Emploi | Formation | Rechercher |
vendredi 27 mai 2022
Les données économiques sont ressorties en-dessous des attentes. Les interventions des banquiers centraux restent dans une tonalité restrictive. Nous conservons notre attitude prudente sur les actions.
En dehors de la perte sèche de capital imputable à une faillite ou une confiscation, le risque d’un investissement se mesure généralement à l’aune de la volatilité (calculée à partir des écarts-types des rendements sur une période donnée). Plus cette volatilité est forte, plus le risque est considéré comme important et les performances attendues élevées.
Nous avons réduit notre exposition au risque récemment, tout en continuant cependant de privilégier les actions par rapport aux obligations. Les cours des premières intègrent en effet désormais largement la dégradation des perspectives macroéconomiques et le discours ferme de la Fed.
Après plusieurs mois d’accélération qui ont porté l’inflation à plus de 8% au global et plus de 6% hors alimentation et énergie, les chiffres d’avril ont montré un premier ralentissement, l’inflation sous-jacente (dite « core ») passant de 6,5% à 6,2%.
La semaine dernière a été dure pour les investisseurs, à l’affût d’un rebond qui ne s’est pas vraiment matérialisé. Pourtant vendredi, les marchés semblaient reprendre espoir, après des commentaires de Jerome Powell plutôt cléments. Celui-ci a notamment écarté à nouveau qu’une hausse de 75 points de base était sur la table des négociations.
Actualité | Agora | Analyse | Dossiers | Focus |