Rendements plus élevés, protection contre la volatilité – les obligations à duration courte ne manquent pas d’atouts. Analyses de Tatjana Greil-Castro, Co-Head Public Markets et Bryan Petermann, Portfolio Manager chez Muzinich & Co.
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dimanche 13 avril 2025
Rendements plus élevés, protection contre la volatilité – les obligations à duration courte ne manquent pas d’atouts. Analyses de Tatjana Greil-Castro, Co-Head Public Markets et Bryan Petermann, Portfolio Manager chez Muzinich & Co.
Pour la deuxième semaine consécutive, les rendements gouvernementaux ont baissé et les marchés du crédit aux entreprises ont généré des performances positives. Les marchés émergents (EM), quant à eux, ont surperformé, grâce à un rebond du marché du crédit asiatique...
Selon nous, la semaine écoulée a été constructive pour les marchés de capitaux. Les décideurs chinois ont entamé la semaine en annonçant leur intention d’assouplir la politique zéro COVID et de fournir un soutien financier supplémentaire au secteur immobilier.
La semaine dernière, les rendements des obligations d’État ont sensiblement augmenté, les courbes se sont aplaties et le dollar américain s’est apprécié. Dans la majorité des cas, ce scenario aurait déclenché un environement « risk-off » mais pas cette fois ; les actions sont en hausse, les marchés du crédit aux entreprises ont surperformé les obligations d’État...
Selon nous, la bonne nouvelle est que les marchés mondiaux du high yield sont bon marché. Aux Etats-Unis, les investisseurs sont rémunérés 70 points de base au-dessus de la médiane, 126 points dans l’UE et 138 points dans les pays émergents. Il est également intéressant de noter que les indices ne se situent pas à un niveau de 100 pour l’ensemble des marchés mondiaux.
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